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La situation  actuelle Pourquoi certains avions sont aussi bas ? Les actions menées par l'association   

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Pourquoi certains avions sont aussi bas aussi loin de l'aéroport ?

Extrait de notre bulletin de 2005 suite 

Le rapport d’Eurocontrol, organisme européen spécialisé dans les études de circulation aérienne, commandité par le gouvernement en mars 2002, notait déjà que :

‘les aéronefs arrivant du Sud Est sont mis en descente plus tôt que nécessaire dans la plupart des situations. Il existe une possibilité de maintenir les aéronefs à des niveaux supérieurs plus longtemps pendant la procédure d’arrivée. Le fait de faire descendre les aéronefs à un stade précoce aggrave l’impact sonore dans cette zone’.

 

Il n’y a donc pas des raisons techniques qui amèneraient à faire voler les avions entre 1200 et 1800 m dans notre zone.

           

Nous avons demandé à plusieurs reprises à Aéroport de Paris (ADP¨) qui non seulement gère les différentes plates-formes aéroportuaires mais a aussi  en charge du trafic aérien dans toute l’Ile de France par délégation de la direction de l’aviation civile (DGAC) de remonter ces niveaux de survol.

 La dernière lettre d’ADP que nous avons reçue ne répond pas à notre demande mais nous permet de comprendre ce qui se passe. La procédure actuelle par vent d’Est amène les avions qui viennent du sud-est et qui se dirigent vers Orly à passer à 1800 m au dessus d’un point appelé MOLEK qui se trouve aujourd’hui à 25 km au sud de Melun. A ce point les pilotes son autorisés à descendre à 1200 m. Certains pilotes descendent tout de suite et d’autres le font un peu plus tard. C’est la raison de la dispersion constatée à Bois le Roi.  

Incidemment nous avons appris, par ce même courrier, que ce point MOLEK, sans aucune considération sur l’impact sonore qui en résulterait pour les populations survolées, a été récemment positionné ainsi à 25 km au sud de Melun. Auparavant ce point de passage à 1800 m était situé plus près de Bois le Roi et les avions, à pente de descente égale, passaient forcément plus haut au dessus de nos têtes.

 Cette situation est d’autant plus difficile à admettre que, par ailleurs, l’altitude des avions en phase de décollage laisse une marge importante pour que les trajectoires préconisées d’atterrissage soient rehaussées (entre 2000 et 2500m), sans risque d’interférences avec les décollages.

                 

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